Álvaro est un homme pauvre obsédé par l'idée d'écrire de la «grande littérature». Il commence à provoquer des conflits pour écrire à leur sujet. La planification de toute une conspiration pour un meurtre ne lui permet pas de se rendre compte qu'en fait, c'est lui la véritable victime.
Autorisé à passer 48 heures hors des murs de la prison, Andrés retrouve ses amis les plus proches pour un week-end de fête et de réflexion sur la liberté et l'identité.